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L'entonnoir

26 décembre 2011

recrutement pedopsy Escale

CLINIQUE l'ESCALE SAINT-VICTORET DU GROUPE ORPEA-CLINEA RECRUTE
Vous intégrerez une équipe jeune et dynamique.
Créée en 2009 avec de nouveaux services d'hospitalisation pour les adultes et adolescents, axés sur des projets médicaux originaux, en hospitalisation complète et à temps partiels.
Le Groupe propose de nombreuses formations médicales continues permettant aux praticiens d’exercer leur art dans
les meilleures conditions. un Pédo-psychiatre ou Psychiatre
Pour le pôle adolescent Statut salarié ou libéral, à temps partiel.
Contact : Guilhem TOSQUELLAS
mail : g.tosquellas@orpea.net
tèl : 04 42 02 25 70
CDI mi-temps
Rémunération brute mensuelle pour un temps plein : 5 500 €

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13 décembre 2011

Pré-programme Congrès Santé mentale et Communautés les 14, 15, 16 mars

Bonjour,

veuillez trouver ci-joint le pré-programme de la 16ème édition
du congrès se tenant tous les 2 ans à Villeurbanne, organisé par l'association
de Santé mentale et Communauté dont le président est le Dr. Marcel Sassolas(si vous n'avez pas lu son bouquin, "la psychose à rebrousse-poil" je le conseille vivement)

Cette année, l'intitulé sera désirable et indésirable clinique.

plaquette_Cours_2012

 

Hannah

12 décembre 2011

Réponse de l'ISNIH à la lettre commune de l'affep concernant la CNIPI

Réponse de l'ISNIH à la lettre commune de l'affep concernant la CNIPI
 

Chers confrères,


Veuillez trouver ci-joints notre réponse et ses explications.


En espérant porter au mieux votre voix.


Bien à vous

 

lettre_aux_associations_de_spe_cialite_

CR_CNIPI

 

12 décembre 2011

DIU gérontopsychiatrie

DIU gérontopsychiatrie ( a la demande du Dr C.FAJULA)

Affiche_DIU_Psychoger_2011_2012

projet_programme_2011_2012


Cher Confrère, Chère Consoeur,

Je vous remercie de l’intérêt que vous portez au DIU de Gérontopsychiatrie et Psychopathologie du vieillissement crée en 2011.
Ce DIU, ouvert aux médecins généralistes et spécialistes gériatres et psychiatres et aux internes a pour objectif d’acquérir des connaissances théoriques et un  savoir faire des pathologies psychiatriques et psychologiques des personnes âgées.
Trois universités s’associent à cet enseignement : l’université Aix Marseille Méditerranée (faculté de Médecine), l’Université de Nice Sofia Antipolis et  l’Université de Montpellier I avec pour enseignants des gériatres et des psychiatres.
Pour l’année 2011-2012, Marseille et Nice débutent ensemble cet enseignement. Les inscriptions sont ouvertes à Marseille jusqu’au 15 Décembre 2011. Le dossier d’inscription à télécharger est sur le site :  http://www.timone.univ-mrs.fr/medecine/; TCEM

La secrétaire administrative est Mme Monique Laisney, joignable au

04 91 32 43 25 ou 04 91 32 44 48 ; e.mail: diplomes.universitaires.

capacites@medecine. univ-mrs.fr.

Afin de faciliter la procédure, le secrétariat hospitalier vous adressera une lettre d’autorisation sur simple appel (04 91 74 46 12) de votre part afin d’accélérer les démarches d’inscription.

Je signerai les contrats de formation directement à la faculté.


Les cours commenceront en janvier 2011. Quatre séminaires auront lieu : 2 séminaires sur Marseille, 2 séminaires sur Nice.
Vous trouverez ci-joint la fiche de présentation ainsi que le préprogramme.
Au plaisir de vous rencontrer lors de cette formation
Très cordialement
Pr Sylvie Bonin-Guillaume
Enseignant responsable à la faculté de médecine de Marseille


Pr Sylvie Bonin-Guillaume, MD,PhD
Aix-Marseille Université, INCM, UMR-CNRS 6193
Faculté de Médecine de Marseille
Service de Médecine Interne Gériatrie
Hôpital Sainte Marguerite, AP-HM
13274 Marseille Cedex 9, France
tel: +33 914 744 612
11 décembre 2011

proposition rempla st remy

RECHERCHE REMPLACEMENT
PSCHIATRE



POUR PERIODE
DU 24/12/2011 (sinon 25/12/2011) AU 29/12/2011



SAINT REMY DE PROVENCE
MAISON DE SANTE SAINT PAUL DE MAUSOLE
UNITE VAN GOGH
DR BRUNNER ET DR CHATALAIN


UNITE DE COURT SEJOUR PSYCHIATRIQUE
34 PATIENTES


POSSIBILITE D’HEBERGEMENT SUR PLACE



SECRETARIAT 04.90.92.77.02
DR BRUNNER 06.11.52.32.29
DR CHATALAIN 06.11.88.45.72

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11 décembre 2011

proposition rempla escale

Bonjour,

Je cherche un médecin psychiatre (interne ou thèsé) pour assurer un remplacement du 20 janvier au 13 février Inclus.

Les conditions financières sont très correctes (je peux donner une évaluation chiffrée).

 Pour les internes, il faut avoir sa licence de remplacement demandée à l'Ordre et avoir une assurance RCP en règle pour cette activité.

 Les remplacements se font sur la clinique L'Escale, à Saint-Victoret (proche Marignane).

 Il s'agit de prendre en charge une trentaine de patients adultes en hospitalisation et d'assurer une permanence médicale sur place certains jours (qui est valorisée par des consultations externes et des entrées facturées).

Sur la période indiquée, il faut compter 7 demi-journées par semaine sur place (visite quotidienne et 2 après-midi d’astreinte), la journée entière le 20 janvier, juste le matininée le 13 fevrier.

Les WE sont libres.

 

Merci de me faire rapidement savoir par mail si vous êtes intéressé.

 

Thierry Sage

t.sage@orpea.net

11 décembre 2011

REVUE DE PRESSE DU CASP DU 23 NOVEMBRE AU 02 DECEMBRE 2011


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REVUE DE PRESSE DU CASP DU 23 NOVEMBRE AU 02 DECEMBRE 2011

Décision Santé: Trois questions à Olivier Goëau-Brissonnière, président de la FSM . « Les décrets sur le DPC sont prêts à être publiés »

APM: La Fédération des spécialités médicales finalise un modèle de déclaration d'intérêts pour les médecins

Le Quotidien du Médecin: Ouverture des élections professionnelles chez les PH. Hôpital, le grand test

Médisite: Psychiatrie : Comment reconnaître un malade dangereux?
Validé par Jean-Louis Senon, psychiatre

Le Quotidien du Médecin: La FSM joue la transparence pour les experts sanitaires

EGORA: Augmentation du numerus clausus : les doyens plus que critiques

Dalloz: projet de loi sur l'exécution des peines

Familles Chrétiennes: interview D Couteanceau: Récidive : un regard criminologique aurait pu éviter le meurtre

26 novembre 2011

Christophe DEJOURS a Bruxelles

Les Matinées de la Psychothérapie Institutionnelle
 
  Nous avons le plaisir de vous convier à  la dixième séance  des   Matinées de la   Psychothérapie Institutionnelle   le 9 décembre 2011 , aux Facultés Universitaires Saint Louis, de 9H30 à 17H00. Nous tenterons de répondre à la question :  Qu’est-ce qu’une institution suffisamment bonne ? 


Les Matinées de la Psychothérapie Institutionnelle organisent à cette occasion une journée complète autour de   Christophe DEJOURS ,  psychiatre, psychanalyste et spécialiste de la psychopathologie du travail. Il évoquera ses travaux récents autour de « Travail et émancipation » et « Travail et sexualité ».
 
Ces réflexions seront prolongées par  Philippe de   TIMARY , psychiatre et professeur de psychiatrie, 
et par le   Groupe "Institutions"  (Ph. BIVORT, J. DAVELOOSE, A. DE KEYZER, Ph. KINOO, M. MEYNCKENS, D. ROBIN et Ch.VANDER BORGHT)  qui présentera son dernier livre :  "Eduquer et soigner en équipe, manuel de pratiques institutionnelles" (voir pièce jointe). 
 
Organisé par  : le Séminaire de thérapie institutionnelle du Méridien, le SSM Le Méridien, le service de psychiatrie pour adolescents et enfants La petite maison ACIS ASBL,    le Groupe 'Institutions' de Chapelle-aux-champs, RIPSY, IPPI et la LFBSM.
Coordonné par Ch. Burquel et D. Robin en lien avec M. Garcia (FUSL) et Ph. de Timary (UCL) comme Responsables académiques.
Inscriptions  :  matinees.psycho.institut@gmail.com         Prix  : 50 euros (20 euros étudiants)
Informations :  Le Méridien, Mme Anna Plaza – O2/218.56.08                                                     
Annonce_Dejours_2011
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26 novembre 2011

Seminaire Du Père aux pères, ECF. le 7/12

26 novembre 2011

L’homme selon le DSM. Le nouvel ordre psychiatrique. Pr M. Corcos

Dans un essai critique sur le DSM*, le Pr Maurice Corcos, professeur de psychiatrie infanto-juvénile à Paris V René Descartes, responsable du département de psychiatrie de l’adolescent et du jeune adulte de l’Institut mutualiste Montsouris, dénonce « la captation par la science mathématique du psychisme humain ».

 

Egora.fr : Pourquoi publier ce livre aujourd’hui ?

Pr Maurice Corcos. Le DSM, appelé familièrement « la bible », sans qu’on prenne conscience du ressort moral de ce qualificatif, décide qui a une maladie mentale et qui n’en a pas, et cette passion classificatoire est en train de prendre, avec le DSM 5, des proportions qui doivent nous interroger sur la science sans conscience des personnes qui la défendent. Dès qu’une maladie est définie, un traitement pharmacologique ou une thérapie adaptative sont rapidement prescrits. De plus, les définitions du DSM sont extrêmement larges, conduisant à des diagnostics injustifiés. La prévalence réelle de l’hyperactivité avec déficit de l’attention n’atteint certainement pas les sommets observés aux Etats-Unis et au Canada, où la prescription de Ritaline est considérable, avec des effets délétères possibles sur la croissance et le développement. Avec le DSM 5, le diagnostic de dépression majeure serait porté dès lors que les symptômes persistent deux semaines, quelle que soit leur cause : deuil, divorce… C’est aberrant. L’American Psychological Association (APA) a lancé une pétition, qui a été signée par près de 5 000 psychologues, pédiatres et psychiatres, pour s’élever contre certains aspects de cette catégorisation, qui semble répondre parfois à une logique économique. Mais le plus grave est que cela correspond à une révolution épistémologique majeure. La psychiatrie est en train de se neurologiser, au détriment de la compréhension psychopathologique des troubles mentaux  et de leur caractère non définitif.

Comment expliquez-vous cette évolution ?

Il y a un effet de balancier, après la psychanalyse triomphante et arrogante des années 60. Bon nombre des psychiatres qui participent au groupe de travail du DSM ont des conflits d’intérêt majeurs et je crois qu’ils n’ont pas suffisamment conscience de la manière dont l’industrie exerce son influence pour ne publier que les essais dont les résultats sont positifs. Ainsi, pendant des années on a dit que les antidépresseurs étaient efficaces chez les adolescents. Mais les résultats négatifs n’étaient pas publiés. La FDA considère aujourd’hui que, en dehors des épisodes dépressifs majeurs et des troubles bipolaires, les antidépresseurs ne sont pas le traitement de première intention de la dépression de l’adolescent. Le manque de temps, le penchant pour la simplification, la peur de la folie, expliquent aussi que beaucoup de praticiens privilégient ces pratiques automatiques, au lieu de prendre le temps de rencontrer les patients et d’explorer leur souffrance. L’enseignement en psychiatrie des étudiants en médecine repose sur  le DSM. Les patients, eux-mêmes, acceptent très bien qu’on leur dise qu’ils ont une vulnérabilité biologique plutôt qu’une difficulté à gérer, dans la complexité actuelle de la vie, les relations humaines. Tout concourt à participer à la médicalisation de la souffrance psychique.

Mais on a besoin, malgré tout, de médicaments et de catégories diagnostiques précises pour pouvoir les évaluer.

Bien sûr, mais si les critères de diagnostic sont trop larges et incluent des patients hétérogènes, les résultats ne signifient plus rien. Par exemple le  DSM 5 définit le syndrome de psychose atténuée. Cela signifie que des enfants et des adolescents ayant des troubles neuro-développementaux non spécifiques, vont recevoir des neuroleptiques, ayant des effets sur le développement et la croissance, parce que l’on anticipe le fait qu’ils pourraient développer une schizophrénie. La définition de ce syndrome est beaucoup trop vague pour entreprendre des essais médicamenteux. La forte augmentation de la prescription des antipsychotiques aux USA est préoccupante. On ne tient plus compte des singularités et des détails, on réduit les processus à des traits, puis à des troubles, on évite la complexité des dynamiques.

Vous reprochez les excès du DSM, mais êtes-vous opposé à toute classification ?

Je suis pour que le DSM redevienne ce qu’il était, c’est-à-dire un outil de recherche et non de diagnostic clinique. La psychiatrie est une exception dans la médecine. Il n’existe pas de tests biologiques, d’imagerie. La psyché, l’humeur sont beaucoup trop complexes pour être assimilables à la pression artérielle ou au taux de cholestérol. Il n’y a rien de plus variable qu’une norme, même biologique, surtout si ce sont des données économiques qui en fixent le seuil. En témoigne la polémique sur les niveaux de  cholestérolémie nécessitant un traitement par statines. Le Docteur Régier, vice-président du groupe de travail du DSM 5, veut éliminer ce qu’il appelle « les zones grises » oubliant que nous sommes tous pétris d’ambivalence, ni totalement sains, ni totalement fous, parce qu’à la fois pulsionnels et raisonnables. Les psychotropes ont des effets symptomatiques indispensables pour soulager certaines souffrances, mais ils n’ont pas révolutionné le traitement étiologique des maladies mentales. Pour traiter quelqu’un qui souffre, il faut de l’engagement et du temps.

Comment concilier cette approche avec l’évolution de la démographie médicale et éviter de renforcer ce que vous appelez « le ghetto de la psychanalyse bourgeoise » ?

C’est un choix politique de savoir si la démocratie c’est aussi la santé pour tous. Il y a des inégalités majeures de prise en charge selon le statut socio-économique. C’est d’autant plus injuste que la pauvreté augmente le risque de troubles mentaux… Je serais favorable à ce que les psychiatres puissent orienter les patients atteints de psychopathologies ne requérant pas a priori de médicaments, ni d’hospitalisation, vers des psychologues, dont les consultations seraient remboursées. Malheureusement, la rapidité du monde moderne, la puissance de l’argent, la peur de l’autre, la peur du fou sont en train de s’accentuer et je crains que le mouvement de protestation que l’on observe actuellement ne soit qu’un feu de paille.

Note. Le DSM V devait sortir initialement en 2012. Sa parution a été reportée à mai 2013. La version provisoire peut être consultée sur le site : http://www.dsm5.org
 
* L’homme selon le DSM. Le nouvel ordre psychiatrique. Editions Albin Michel

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